Pétrole : Les prix du pétrole reculaient légèrement mardi en cours d'échanges européens, les investisseurs continuant de guetter un signal fort sur la production, de l'Opep ou des Etats-Unis, qui permettraient aux cours d'enregistrer un mouvement marqué.
Vers 11H15 GMT (12H15 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril, dont c'est le dernier jour de cotation, valait 55,77 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 16 cents par rapport à la clôture de lundi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en avril cédait 11 cents à 53,93 dollars.
Les cours de l'or noir, qui s'étaient repris l'année dernière après être tombés sous 30 dollars en février 2016, évoluent sans direction forte depuis le début de cette année.
'A voir les mouvements des prix des trois derniers mois, l'attente d'une demande mondiale en bonne santé et l'accord de limitation de producteurs, membres et non-membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), ont amené les cours à un point d'équilibre et a réduit la volatilité du marché', ont commenté les analystes de PVM.
Mardi midi sur les marchés pétroliers, le baril de Brent de mer du Nord livrable en avril reculait de 0,4% à 55,7 dollars, le WTI américain de même échéance le suivant à 53,9 dollars.
L'Arabie saoudite souhaiterait que les prix du pétrole brut augmentent à environ 60 dollars le baril cette année, commentent ce matin les analystes de Saxo Banque.
C'est le niveau que l'Opep et ses alliés du Golfe, les Emirats arabes unis, le Koweït et le Qatar se sont fixés pour ne pas conduire à un saut dans la production de schistes des États-Unis, ajoutent les spécialistes.
Le brut a pris environ 15% depuis l'annonce du rétablissement de ses quotas par l'Opep, mais fait du surplace depuis la mise en oeuvre de cette promesse, au début de l'année.
Plus d'un milliards de dollars de projets pétroliers ont été annulés ou retardés depuis la mi-2014, ajoute encore Saxo Banque.
Les cours du pétrole ont ouvert en légère baisse mardi à New York, les investisseurs continuant à tergiverser sur les perspectives de production aux Etats-Unis et au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
Vers 14H25 GMT, le prix du baril de 'light sweet crude' (WTI), référence américaine du brut, perdait 54 cents à 53,51 dollars sur le contrat pour livraison en avril au New York Mercantile Exchange (Nymex).
'Le marché reprend son souffle et ne fait rien d'autre que se consolider', a résumé Gene McGillian, de Tradition Energy.
Les cours continuent à évoluer dans une fourchette relativement étroite depuis la fin 2016, à une grosse cinquantaine de dollars le baril à New York comme pour le Brent européen à Londres.
'Peut-être qu'il y a un peu de pression sur les cours dans l'idée que l'on pourrait voir annoncer une huitième semaine consécutive de hausse des stocks de brut aux Etats-Unis', a prévenu M.
Les cours du pétrole reculaient mardi en fin d'échanges européens, des informations sur la production russe, qui serait en hausse, inquiétant les investisseurs.
Les cours du pétrole ont fini sans tendance mardi à l'issue d'une séance hésitante, des données sur la production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ne suffisant pas à préciser les perspectives de réduction de l'offre.
Le prix du baril de 'light sweet crude' (WTI) , référence américaine du brut, a cédé quatre cents à 54,01 dollars sur le contrat pour livraison en avril au New York Mercantile Exchange (Nymex).
L’Arabie Saoudite souhaiterait faire grimper les cours du pétrole à 60 dollars le baril d’ici la fin 2017.
Métaux précieux : Au terme du premier fixing de ce mardi sur le marché de référence de Londres, l'once de 31,1 grammes d'or cotait 1,251,9 dollars (-5,3 dollars par rapport au fixing d'hier après-midi) et 1180,8 euros (- 5,2 euros).
Tout à l'heure à Washington, le président Donald Trump prononcera son premier discours devant le Congrès.
Les opérateurs financiers espèrent y trouver des indices plus précis de sa future politique économique, qui en fin d'année dernière suscitait tant d'optimisme.
Reste que le coeur n'y est plus, ou qu'il l'est moins : depuis l'intervention de Stephen Mnuchin (le secrétaire du Trésor, ndlr) indiquant que les mesures (de l'administration Trump) n'auront pas d'impact sur la croissance avant 2018, l'état d'esprit des investisseurs a changé , souligne Aurel BGC.
Le premier groupe aurifère mondial a largement restauré sa capacité bénéficiaire en 2016 et il devrait profiter de la bonne performance des cours de lor depuis le début de cette année.
Il est possible de jouer le dossier avec du levier avec un Turbo call infini émis par Citi.
0 Commentaire