Pétrole : La production pétrolière des Etats-Unis va pâtir dès 2016 de la chute des cours, due en partie à l'offensive commerciale de l'OPEP qui inonde le marché d'or noir, offrant un soutien plus fort que prévu à la demande mondiale, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Les prix du pétrole perdaient du terrain vendredi, dans un regain de déprime sur les marchés, malgré un rapport plutôt optimiste de l'Agence internationale de l'Énergie (AIE) faisant état d'une baisse de l'offre américaine, car le surplus mondial ne se résorbe pas assez rapidement.
Vers 11H20 GMT (13H20 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 47,84 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 1,05 dollar par rapport à la clôture de jeudi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance perdait 1,07 dollar à 44,85 dollars.
La volatilité se poursuit sur les marchés du pétrole, le Brent et le WTI repartant en baisse ce vendredi malgré des propos assez optimistes de l'Agence internationale de l'Énergie (AIE).
La production des pays non membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) devrait connaître son repli le plus fort en 24 ans, avec une baisse de près de 0,5 million de barils par jour (mbj) à 57,7 mbj, dont 0,4 mbj pour le seul pétrole de schiste américain, estimait l'AIE dans son rapport mensuel publié vendredi.
La baisse du prix du pétrole pourrait continuer jusqu'à atteindre vingt dollars le baril.
Les analystes de Goldman Sachs n'excluent en tout cas pas….
Les cours du pétrole ont ouvert en nette baisse vendredi à New York, poursuivant leur évolution en dents de scie des dernières séances dans un marché toujours nerveux et incertain face à la surabondance mondiale d'or noir.
Vers 13H10 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en octobre cédait 1,36 dollar à 44,56 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), après avoir pris près de deux dollars la veille.
Les cours, tombés pendant l'été sous les 40 dollars le baril face aux inquiétudes sur l'économie chinoise, hésitent depuis le début du mois autour de 45 dollars.
'Le marché continue à essayer de trouver un équilibre au-dessus de ses plus bas niveaux depuis six ans', a résumé Gene McGillian, de Tradition Energy.
Il estimait qu'après avoir été encouragés jeudi par l'annonce d'une baisse hebdomadaire de la production américaine, selon les chiffres hebdomadaires du gouvernement, les investisseurs reprenaient conscience du haut niveau de l'offre mondiale.
Les prix du pétrole reculaient vendredi malgré un rapport plutôt optimiste de l'Agence internationale de l'Énergie (AIE) faisant état d'une baisse de l'offre américaine car le surplus mondial ne se résorbe pas assez rapidement.
Vers 17H15 GMT (18H15 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 48,17 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 72 cents par rapport à la clôture de jeudi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance perdait 94 cents à 44,99 dollars.
La volatilité se poursuit sur les marchés du pétrole, le Brent et le WTI repartant en baisse ce vendredi malgré des propos assez optimistes de l'Agence internationale de l'Énergie (AIE).
La production des pays non membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) devrait connaître son repli le plus fort en 24 ans, avec une baisse de près de 0,5 million de barils par jour (mbj) à 57,7 mbj, dont 0,4 mbj pour le seul pétrole de schiste américain, estimait l'AIE dans son rapport mensuel publié vendredi.
Les cours du pétrole ont nettement baissé vendredi à New York mais enregistraient peu de changement sur la semaine, les investisseurs continuant à hésiter quant au niveau auquel se fixer, face à une offre d'or noir qui reste élevée dans le monde.
Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en octobre a reculé de 1,29 dollar à 44,63 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), après avoir pris près de deux dollars la veille.
Le marché continue ainsi à zigzaguer, après avoir enregistré à plusieurs reprises des hausses ou des baisses de plus d'un dollar par jour lors des précédentes séances, mais parvient au week-end à un niveau semblable à vendredi dernier ou encore une semaine plus tôt, autour de 45 dollars.
'C'est toujours l'indécision qui domine', a jugé Carl Larry, de Frost'Sullivan.
'On évolue en dents de scie à la recherche du juste prix.
En août 2015, le prix du pétrole en euros diminue nettement ('16,8% après '8,7% en juillet), pour s'établir à 42,2' en moyenne par baril de Brent.
Le prix a chuté de 44,9% par rapport à son niveau d'août 2014 (76,6').
Les prix en euros des matières premières importées hors énergie se replient ('3,4% après 0,6%): cette baisse est généralisée, qu'il s'agisse des matières premières industrielles ('3,3%) ou alimentaires ('3,5%).
Goldman Sachs a estimé vendredi que le monde comptait plus de pétrole qu'elle ne l'avait d'abord cru et la banque d'affaires américaine a dit s'attendre à ce que le prix du baril de brut glisse sous la barre des 40 $ US, et peut-être même encore plus bas, parce que cette saturation pourrait se poursuivre jusqu'à l'an prochain.
Métaux précieux : Les prix des métaux de base échangés sur le London Metal Exchange (LME) ont poursuivi leur hausse cette semaine, même si les inquiétudes sur l'essoufflement de l'économie chinoise se mettent en travers d'un rebond plus franc.
'Les marchés restent nerveux face au ralentissement de la Chine', résumaient les analystes d'UniCredit car ce pays est le plus gros consommateur de métaux industriels au monde.
La semaine précédente les métaux de base avaient bénéficié d'un répit grâce à deux jours de fermeture des marchés chinois, et certains observateurs avaient exprimé leurs doutes quant à la fermeté des cours une fois les places chinoises rouvertes.
Or les prix des métaux de base ont réussi à se maintenir, finissant la semaine en légère hausse ou stable, même si l'ombre de la Chine plombe toujours le moral des investisseurs.
Les fondamentaux du cuivre s'améliorent.
Les cours du cuivre ont atteint jeudi leur plus haut niveau depuis le 22 juillet, à 5.
L'or s'est de nouveau retrouvé sous l'emprise de la réserve fédérale américaine (Fed) et des spéculations des investisseurs sur la possibilité d'une hausse du taux de l'institution avant sa réunion la semaine prochaine.
L'or est ainsi tombé vendredi à 1,098,79 l'once, un plus bas depuis un mois, repassant ainsi sous le seuil des 1,100 dollars.
'Les investisseurs pariant sur une baisse de l'or sont de retour sur le marché avant la décision de la Fed' sur son taux, a simplement constaté Ole Hansen, analyste chez Saxo Bank.
Alimentaires : Le cours du café et du sucre ont subi cette semaine les conséquences de la dépréciation du real sur fond de difficultés économiques au Brésil, tandis que ceux du cacao ont poursuivi le rebond permis par des pluies éparses.
Le café touché par la chute du real -La faiblesse de la monnaie brésilienne a continué de peser sur les cours du café cette semaine.
Le café à Londres est ainsi tombé vendredi à 1,544 dollars la tonne, un plus bas depuis deux ans, tandis que le café coté à New York a atteint le même jour 116,00 cents la livre, son minimum en plus d'un an et demi.
Mercredi, l'agence de notation financière Standard and Poor's (SP) a relégué en catégorie 'spéculative' la note de la dette à long terme du Brésil, évoquant les difficultés politiques et économiques du grand pays d'Amérique latine.
La FAO a annoncé jeudi que les prix alimentaires mondiaux ont en moyenne chuté de 5,2 % entre juillet et août.
C'est la baisse mensuelle la plus….
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