Matières premières : frets maritimes, les frets secs perdent du terrain, les pétroliers.

Pétrole : L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a révisé à la baisse sa prévision de croissance de la demande de brut pour 2016, sur fond de ralentissement économique au Brésil et en Chine, selon son rapport mensuel paru lundi.

Le cartel estime que la demande va continuer de croître en 2016, mais un peu moins vite que prévu à 1,29 million de barils par jour (mbj), soit 50,000 barils par jour (b/j) de moins qu'estimé auparavant.

La demande totale en 2016 devra s'élever à 94,08 mbj.

'Alors que les économies émergentes et en voie de développement ont été le principal moteur de la croissance (mondiale, NDLR) ces dernières années, il est devenu clair que la croissance de ces pays est en train de ralentir', estime le cartel dans son rapport mensuel.

Les cours du pétrole ont ouvert en baisse lundi à New York, restant sous pression alors que les investisseurs attendent de voir si oui ou non la réserve fédérale américaine rehaussera ses taux d'intérêt jeudi.

Les prix du pétrole étaient en légère baisse lundi en cours d'échanges européens, le marché demeurant prudent avant une réunion de la réserve fédérale américaine (Fed) et inquiet face à des fondamentaux moroses.

Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre valait 46,55 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 1,59 dollar par rapport à la clôture de lundi.

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance perdait 83 cents à 43,80 dollars.

'Les prix du pétrole se sont retrouvés sous pression car les investisseurs restent prudents avant l'annonce de la Fed après sa réunion de jeudi', expliquait Myrto Sokou, analyste chez Sucden Financial.

Les investisseurs attendent de savoir si la réserve fédérale américaine va rehausser ses taux d'intérêt jeudi.

Les cours du pétrole ont baissé une nouvelle fois lundi à New York, dans un marché peu animé tentant d'évaluer un rapport mitigé de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et restant prudent à trois jours d'une décision sur les taux d'intérêts américains.

Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en octobre a reculé de 63 cents à 44,00 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

chr/jdy/pre(AWP / 14,09,2015 20h37) (AWP / 14.

Les cours du pétrole ont de nouveau baissé lundi à New York, dans un marché peu animé tentant d'évaluer un rapport mitigé de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), et prudent à trois jours d'une décision sur les taux d'intérêts américains.

Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en octobre a reculé de 63 cents à 44,00 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).

A Londres, le prix du baril de Brent, référence européenne de brut, a baissé plus fortement de 1,77 dollar à 46,37 dollars, sur l'Intercontinental Exchange (ICE), également pour le contrat d'octobre.

Le rapport mensuel de l'Opep sur le marché du pétrole 'a fourni une révision de bon augure de sa prévision d'offre des pays hors Opep, mais elle a aussi revu à la baisse sa prévision de demande en 2016', a résumé Tim Evans, chez Citi.

Phil Flynn, chez price futures Group, a surtout retenu de ce rapport que l'Opep avait de nouveau relevé ses estimations de croissance de la demande pour 2015, en plus du déclin de production hors-Opep.

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a révisé à la baisse sa prévision de croissance de la demande de brut pour 2016, sur fond de ralentissement économique au Brésil et en Chine, selon son rapport mensuel paru lundi.

Dans son rapport mensuel, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) dit s'attendre à une demande de brut d'environ 30-31 millions de barils¦.

Les prix des transports de matières premières sèches ont baissé la semaine dernière, plombés par un manque de cargaisons sur le marché des Panamax, tandis que les taux des pétroliers continuaient de progresser pour les navires transportant du brut et de décliner pour ceux chargeant des produits pétroliers.

indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), qui fournit une estimation moyenne des tarifs pratiqués sur 20 routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.

) a fini vendredi à 818 points, son plus bas niveau en deux mois et demi, contre 875 points une semaine auparavant.

Le BDI a été notamment lesté par un fort déclin des tarifs des 'Panamax' en raison d'un manque d'activité dans le bassin Atlantique.

'Le peu de nouvelles cargaisons et une augmentation des bateaux disponibles à l'affrètement sont en train de peser sur les taux', ont constaté les analystes du courtier Fearnleys.