Pétrole : Les cours du pétrole ont ouvert en baisse lundi à New York, dans un marché qui tentait d'évaluer les chances d'un assouplissement de l'attitude de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) face à l'excès d'offre.
Vers 14H05 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en janvier, dont c'était le premier jour comme contrat de référence, perdait 57 cents à 41,33 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
Néanmoins, ce prix est plus élevé que celui auquel le précédent contrat avait achevé la semaine dernière, à moins de 41 dollars, d'autant que le marché s'est nettement redressé lundi en début de séance, par rapport aux échanges électroniques d'avant l'ouverture.
'L'Arabie saoudite a exprimé sa volonté de coopération et cela relance vraiment le marché', a mis en avant Carl Larry, de Frost'Sullivan.
L'Arabie saoudite, membre dominant de l'Opep, s'est dit prête à coopérer avec les autres producteurs, y compris hors du cartel, pour garantir la stabilité des prix, qui n'arrivent pas à se remettre de leur effondrement d'il y a un an et se trouvent depuis le début du mois proches de leurs plus bas niveaux depuis six ans et demi.
Les prix du pétrole enregistraient lundi après-midi un rebond sensible, après un engagement de l'Arabie saoudite visant à stabiliser le marché et les tarifs des hydrocarbures.
Les cours du pétrole rebondissaient lundi en fin d'échanges européens, après que l'Arabie saoudite a laissé la porte ouverte à des négociations avec les autres pays producteurs de pétrole pour tenter de stabiliser les prix.
Vers 17H25 GMT (18H25 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier valait 45,44 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 78 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance, dont c'est le premier jour d'utilisation comme contrat de référence, gagnait 45 cents à 42,35 dollars.
Les cours du Brent et du WTI, après avoir ouvert en baisse, sont repassés dans le vert à la faveur de nouvelles déclarations de l'Arabie saoudite, premier exportateur mondial d'or noir, qui s'est dite prête à coopérer avec les autres pays producteurs, y compris non membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), afin d'endiguer la chute continue des prix.
'Le WTI continue d'être tiré à la hausse après que l'Arabie saoudite a annoncé lundi être prête à coopérer avec l'Opep et les pays hors-Opep afin de réussir à stabiliser le marché', commentait Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
Les cours du pétrole ont légèrement baissé lundi à New York, les investisseurs hésitant à croire à une inflexion de la politique de forte production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) après des propos conciliants de l'Arabie saoudite.
Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en janvier, dont c'était le premier jour comme contrat de référence, a cédé 15 cents à 41,75 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
'Le marché est en train d'essayer de déterminer s'il faut accorder foi à des propos de l'Arabie saoudite, qui se dit désireuse de stabiliser le marché de concert avec les producteurs extérieurs à l'Opep', a résumé Andy Lipow, de Lipow Oil Associates.
Alors que la majorité des observateurs jugent que l'Opep contribue largement à plomber le marché en s'abstenant d'abaisser ses quotas de production, Ryad, membre dominant du cartel, a fait un pas en avant lundi en exprimant sa volonté de coopérer avec les autres producteurs pour endiguer la chute des prix.
La réaction des investisseurs est restée mesurée, car 'ils sont plutôt sceptiques quant à un accord quelconque entre l'Opep et les producteurs extérieurs', a souligné M.
Les cours du pétrole ont peu évolué lundi à New York et Londres, les investisseurs hésitant à croire à une inflexion de la politique de forte production de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) après des propos conciliants de l'Arabie saoudite.
Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en janvier, dont c'était le premier jour comme contrat de référence, a cédé 15 cents à 41,75 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier a en revanche gagné 17 cents à 44,83 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
'Le marché est en train d'essayer de déterminer s'il faut accorder foi à des propos de l'Arabie saoudite, qui se dit désireuse de stabiliser le marché de concert avec les producteurs extérieurs à l'Opep', a résumé Andy Lipow, de Lipow Oil Associates.
Alors que la majorité des observateurs jugent que l'Opep contribue largement à plomber le marché en s'abstenant d'abaisser ses quotas de production, Ryad, membre dominant du cartel, a fait un pas en avant lundi en exprimant sa volonté de coopérer avec les autres producteurs pour endiguer la chute des prix.
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