Pétrole : Les cours du pétrole ont ouvert sans grand changement mercredi à New York, le marché attendant plutôt sereinement des chiffres hebdomadaires sur l'état des réserves américaines, dans l'espoir d'y trouver les signes d'une baisse de l'offre.
Vers 13H05 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en novembre, dont c'était le premier jour de cotation, prenait trois cents à 46,39 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
Comme souvent le mercredi, la journée sera dominée sur le marché pétrolier par les chiffres hebdomadaires que publiera à 14H30 GMT le Département américain de l'Energie (DoE) sur l'état de l'offre américaine, au niveau des réserves et de la production.
Pour le moment, 'les cours sont un peu soutenus par les chiffres publiés hier soir par l'American Petroleum Institute (API)', une organisation privée diffusant ses propres estimations, 'qui a fait état d'une nette baisse des réserves de brut', a rapporté Kyle Cooper, de IAF Advisors.
'Mais on attend ce que dira le DoE dans quelques heures.
Les cours du pétrole perdaient du terrain mercredi en fin d'échanges européens, malgré un nouveau recul des stocks de brut aux États-Unis, lestés par une progression de la production américaine, selon des chiffres du Département américain de l'Énergie (DoE).
Vers 16H30 GMT (18H30 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 48,32 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 76 cents par rapport à la clôture de mardi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance perdait 1,29 dollar à 45,07 dollars.
Selon le DoE, lors de la semaine achevée le 18 septembre, les réserves commerciales de brut ont baissé de 1,9 million de barils pour atteindre 454,0 millions de barils, alors que les experts interrogés par l'agence Bloomberg ne s'attendaient qu'à un repli de 1,25 million de barils.
Le repli des réserves américaines de brut combiné à une baisse des réserves de Cushing (centre de stockage situé dans le centre-sud des États-Unis, NDLR) a tout d'abord soutenu les cours, car un déclin des stocks est souvent de bonne augure concernant la demande du premier consommateur de pétrole au monde.
Les cours du pétrole ont nettement baissé mercredi à New York après des chiffres hebdomadaires contrastés sur l'offre américaine, dont le marché a retenu un rebond de la production, jugé de mauvais augure face à une surabondance mondiale persistante.
Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en novembre, dont c'était le premier jour de cotation, a perdu 1,88 dollar à 44,48 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
A Londres, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, référence européenne du brut, pour livraison en novembre a cédé 1,33 dollar à 47,75 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
Comme souvent les mercredis, la principale actualité du marché pétrolier a été fournie par le Département de l'Energie des Etats-Unis (DoE), qui a publié ses chiffres hebdomadaires sur l'état des réserves américaines.
Le marché a initialement bien réagi à l'annonce d'une baisse de près de deux millions de barils des réserves de pétrole brut, mais s'est finalement orienté dans le rouge en deuxième partie de séance.
Les stocks de pétrole brut ont un peu plus reculé que prévu la semaine dernière aux Etats-Unis, mais la production a légèrement rebondi, selon des chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Énergie (DoE).
Lors de la semaine achevée le 18 septembre, les réserves commerciales de brut ont baissé de 1,9 million de barils pour atteindre 454,0 millions de barils, alors que les experts interrogés par l'agence Bloomberg ne s'attendaient qu'à un repli de 1,25 million de barils.
En revanche cette baisse des stocks est moins marquée que ne l'avait anticipé l'association professionnelle American Petroleum Institute, qui avait fait état mardi soir d'un déclin de 3,7 millions de barils.
Les réserves de brut restent 'proches de niveaux pas vus à cette période de l'année depuis au moins 80 ans', a encore une fois souligné le DoE.
Elles enregistrent une progression de 26,8% par rapport à la même période de l'an dernier.
Métaux précieux : L'état tendanciel baissier depuis lÂ'été 2011 ne permet pas encore au consensus acheteur de se reformer avec ferveur, et les phases de reprises s'essoufflent rapidement.
Le groupe minier canadien Barrick Gold a été suspendu d'opérer pendant un mois dans la province argentine de San Juan, où il exploite une mine d'or, à la suite d'une fuite de cyanure.
Gaz : Les tarifs réglementés du gaz, appliqués par Engie (ex-GDF Suez) à quelque sept millions de consommateurs français, baisseront de 1,4% le 1er octobre, a annoncé mercredi la Commission de régulation de l'énergie.
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