Pétrole : Nous analysons aujourd'hui les répercussions de la décision de la réunion de l'OPEP.
Pour les analystes, c'est clair, l'Opep veut mettre plus de….
Les prix du pétrole rebondissaient légèrement mardi en cours d'échanges européens, après avoir atteint la veille leurs plus bas niveaux en près de sept ans, après que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a décidé vendredi de maintenir sa production inchangée malgré la surabondance d'offre.
Vers 11H00 GMT (12H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier valait 41,25 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 52 cents par rapport à la clôture de lundi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance gagnait 25 cents à 37,90 dollars.
Les cours du Brent et du WTI tentaient un timide rebond mardi après avoir lourdement chuté la veille jusqu'à atteindre de nouveaux plus bas en près de sept ans, les investisseurs digérant la décision de l'Opep de ne pas procéder à des réductions de production malgré les excédents qui étouffent le marché.
Le Brent est ainsi tombé lundi à 40,60 dollars le baril tandis que le WTI a chuté jusqu'à 37,50 dollars le baril, leurs plus bas niveaux depuis février 2009.
Les marchés actions reprennent leur spirale baissière avec la chute des cours du pétrole et des matières premières sur fond de craintes sur l'économie chinoise.
Les cours du pétrole poursuivaient leur chute à leurs plus bas niveaux depuis début 2009 mardi à l'ouverture à New York, toujours plombé par l'immobilisme manifesté par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
Vers 14H05 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en janvier perdait 82 cents à 36,84 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), après être déjà tombé la veille au plus bas niveau de clôture d'un contrat de référence depuis près de sept ans.
A Londres, le prix du baril de Brent, référence européenne du brut, évoluait aussi à ses plus bas depuis février 2009, passant même sous le seuil symbolique des 40 dollars, après une tentative avortée de rebond.
'Avec le Brent (.
Le baril de Brent de la mer du Nord, la référence européenne du brut, a chuté mardi sous la barre des 40 dollars pour la première fois depuis près de sept ans, comme le baril de WTI, le pétrole échangé à New York, il y a quelques jours.
Le cours du Brent échangé à Londres, qui avait franchi à la baisse lundi son précédent plus bas atteint fin août, a ensuite creusé ses pertes, atteignant de nouveaux plus bas depuis février 2009 après que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a décidé de maintenir sa production inchangée malgré la surabondance d'offre pesant sur le marché.
Le baril pour livraison en janvier est tombé à 39,81 dollars mardi vers 14H00 GMT, soit un minimum depuis le 20 février 2009.
En dépit de la chute des prix du pétrole, qui ont perdu plus de 60% de leur valeur depuis la mi-2014, l'Opep a décidé vendredi à Vienne lors de sa réunion semestrielle de maintenir sa production à ses niveaux actuels, estimant qu'une réduction de celle-ci n'aurait pas beaucoup d'effet sur le marché.
Fidèle à sa position adoptée un an plus tôt et maintenue il y a six mois, le cartel n'a donc pas annoncé de réductions de production, mais, fait plus inattendu, il n'a même pas pris la peine cette fois d'établir un objectif chiffré de production.
Les cours du pétrole hésitaient sur la marche à suivre mardi en fin d'échanges européens, après avoir lourdement chuté la veille et atteint de nouveaux plus bas en séance, dans un marché toujours plombé par l'immobilisme de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) face à la surabondance mondiale.
Vers 17H05 GMT (18H05 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier valait 40,55 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 18 cents par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance perdait 6 cents à 37,59 dollars.
Les cours du Brent et du WTI, après avoir légèrement rebondi mardi en début d'échanges asiatiques, se sont brusquement enfoncés en début d'après-midi à de nouveaux plus bas en près de sept ans, et tentaient depuis de se stabiliser.
Le marché digérait la décision de l'Opep, dont les investisseurs espéraient une position plus conciliante, qui a annoncé vendredi à Vienne qu'elle maintenait son niveau actuel de production, sans toutefois annoncer d'objectif chiffré pour celui-ci.
Le pétrole était toujours orienté à la baisse mardi à Londres et New-York.
Ce mardi, pour la première fois depuis février 2009, le Brent est passé….
Les cours du pétrole ont légèrement baissé mardi à New York, tombant de nouveau à leur plus bas depuis près de sept ans à l'issue d'une séance très incertaine, le marché hésitant à baisser encore, sans trouver de raison pour rebondir.
Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en janvier a cédé 14 cents à 37,51 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), terminant pour la seconde séance de suite au plus bas niveau d'un contrat de référence depuis février 2009.
jdy/az(AWP / 08,12,2015 20h39) (AWP / 08.
Husky Energy (t.
hse) prend pour acquis que le pétrole brut vaudra 40$ US le baril l'an prochain, et calcule que ses investissements futurs pourront être rentables même si le cours du West Texas Intermediate stagne à 30$ US le baril -ce qui est inférieur à son prix actuel.
Le baril de Brent de la mer du Nord a dégringolé mardi 7 décembre sous la barre des 40 dollars, son plus bas depuis 2009.
Métaux : Deux des plus importants groupes de métaux chinois vont fusionner, ont annoncé mardi les autorités du pays, qui accélère la réforme de ses entreprises d'Etat.
Gaz : Philippe Couillard a suscité bien des froncements de sourcils en prédisant la fin du recours au gaz naturel d'ici 2050 au Québec.
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