Pétrole : Les cours du pétrole ont ouvert en hausse vendredi à New York, les investisseurs saluant l'annonce la veille d'une nouvelle réunion en mars entre les deux plus gros producteurs d'or noir, l'Arabie Saoudite et la Russie, ainsi que le Qatar et le Venezuela.
Les cours du pétrole ont fini en baisse vendredi à New York : le baril de référence (WTI) pour livraison en avril, en hausse durant la plus grande partie de la séance, a flanché quelques minutes avant la clôture pour finir à 32,78 $ sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), perdant 29 cents.
Le cours du pétrole grimpaient vendredi en fin d'échanges européens, soutenus par un nouveau regain d'espoir sur une possible amélioration de la situation fondamentale sur le marché, actuellement inondé d'offre par rapport à une demande terne.
Vers 17H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril valait 35,77 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 48 cents par rapport à la clôture de jeudi.
Le prix du Brent est monté vendredi vers 14H15 GMT à 37,00 dollars, au plus haut depuis le 5 janvier.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance prenait 20 cents à 33,27 dollars.
Le prix du WTI est monté vendredi vers 14H20 GMT à 34,69 dollars, son niveau le plus élevé en un mois.
Les cours du pétrole ont fini en baisse vendredi à New York, les investisseurs semblant brusquement se demander s'ils ne s'étaient pas un peu emballés en tablant sur un prochain resserrement des excédents actuels.
Métaux précieux : L'or a connu une semaine agitée, poursuivant jusqu'à mercredi sa consolidation de la semaine précédente en raison d'un regain d'inquiétudes sur l'économie mondiale avant de souffrir de bonnes données américaines vendredi.
Jusqu'en milieu de semaine, 'les craintes grandissantes de vulnérabilité de l'économie mondiale, combinées à une vague d'aversion au risque alimentée par la dégringolade des cours du pétrole, ont fourni aux acheteurs d'or une base pour porter les cours vers leurs sommets de (début) février', a observé Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
Le métal jaune a en effet profité d'un afflux d'investisseurs cherchant la sécurité que représente l'or à leurs yeux du fait d'une hausse de l'aversion pour les actifs risqués en Europe et aux États-Unis.
Le cours de l'once a dans un premier temps été porté par un regain d'incertitudes par l'avenir du Royaume-Uni au sein de l'Union européenne (UE) après le ralliement du très influent maire de Londres Boris Johnson au camp des partisans du 'Brexit', la sortie de l'UE.
matières premières : Les marchés européens poursuivent leur progression, les anticipations de mesures des banques centrales dopant les valeurs cycliques et celles liées aux matières premières avant le G20.
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