Pétrole : Les cours du pétrole ont ouvert en légère hausse jeudi à New York, essayant de se redresser après des niveaux historiquement bas, et se maintenaient au-dessus de leurs homologues européens, plus affectés par la perspective d'un afflux d'or noir iranien.
Vers 14H05 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en février prenait 34 cents à 30,82 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), restant proche de ses plus bas niveaux depuis décembre 2003.
'On commence à trouver un plancher sur le marché new-yorkais, peut-être autour de 30 dollars, pas beaucoup moins en tout cas', a jugé Carl Larry.
'On assiste à un certain rééquilibrage à ces niveaux'.
L'évolution des cours, en chute de près de 20% depuis le début de l'année, s'annonce néanmoins incertaine, puisqu'ils ont régulièrement ouvert en hausse lors des précédentes séances pour ensuite se replier dans le rouge ou vers l'équilibre.
Les marchés boursiers ont été rattrapés jeudi par la déprime des prix du pétrole, associée à la chute des valeurs automobiles, notamment renault, laminé après la révélation de perquisitions dans ses locaux.
L'or noir est repassé sous la barre symbolique des 30 dollars ce jeudi.
La baisse des prix s'est accélérée depuis la fin de l'année 2015.
Les cours du pétrole s'affichaient en hausse jeudi en fin d'échanges européens, après être brièvement passés sous le seuil des 30 dollars le baril pour la première fois en douze ans, semblant chercher un plancher.
Vers 17H30 GMT (18H30 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février, dont c'est le dernier jour de cotation, valait 31,02 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 71 cents par rapport à la clôture de mercredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance prenait 82 cents à 31,30 dollars.
Les cours du Brent et du WTI, après un rebond avorté mercredi, semblaient dans de meilleures dispositions jeudi, même si le pétrole échangé à Londres a atteint en début d'échanges asiatiques 29,73 dollars, un minimum depuis le 12 février 2004.
Le Brent avait en effet momentanément franchi à la baisse mercredi le seuil symbolique des 30 dollars le baril, emboîtant le pas au WTI, qui était brièvement tombé sous ce niveau dès mardi, et évoluait désormais en-dessous de la référence new-yorkaise du brut.
Métaux précieux : Janvier est historiquement un bon mois pour le métal.
Mais les hausses de taux de la Fed et une faible inflation devraient peser sur le marché cette année.
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