Pétrole : En février 2016, le prix du pétrole en euros se redresse un peu ( 5,4% après -18,0% en janvier).
Néanmoins, en s'établissant à 29,9' en moyenne par baril de Brent, ce prix reste inférieur de 41,3% à son niveau un an plus tôt (51,0').
Les prix en euros des autres matières premières importées remontent modérément ( 0,8% après -2,6%).
Les prix des matières premières industrielles augmentent ( 2,8%), alors que ceux des matières premières alimentaires diminuent (-2,4%).
Les prix du pétrole accusaient le coup mardi en cours d'échanges européens après que les espoirs d'un accord concerté pour geler la production ont été douchés par le refus de l'Iran d'y prendre part.
Le pétrole a ouvert en nette baisse mardi à New York, poursuivant un mauvais début de semaine comme les investisseurs retrouvent leurs doutes sur la possibilité d'une résorption de la surabondance générale, notamment dans l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
Vers 13H05 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en avril cédait 68 cents à 36,50 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), après avoir perdu plus d'un dollar la veille.
'La négativité fait simplement son retour sur le marché (pétrolier)', a résumé John Kilduff, d'Again Capital.
Depuis début février, les cours de l'or noir, auparavant tombés au plus bas depuis 2003, ont enchaîné les semaines de hausse après l'annonce d'un accord de gel de la production entre l'Arabie saoudite, membre dominant de l'Opep, et la Russie, gros producteur extérieur au cartel, mais les investisseurs semblent maintenant craindre que cela ne débouche pas sur de grandes avancées pour limiter une offre toujours excessive.
Désormais, 'on se concentre surtout sur l'Iran, qui, pour des raisons bien compréhensibles, refuse pour le moment de signer tout accord pour plafonner la production', ont souligné les experts de Commerzbank.
Les cours du pétrole s'enfonçaient dans le rouge mardi en fin d'échanges européens, dans un marché rattrapé par les fondamentaux de l'offre et de la demande, après un mois de hausse quasi ininterrompue encouragée par l'espoir de voir les grands producteurs s'entendre pour geler leur production.
Vers 17H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai valait 38,46 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en repli de 1,07 dollar par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en avril perdait 1,11 dollar à 36,07 dollars.
Les cours du Brent et du WTI ont nettement rebondi depuis la mi-février et l'annonce par l'Arabie saoudite, chef de file de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), et la Russie, qui lui est extérieure, d'un accord pour geler leur production.
Mais ils sont de nouveau sous pression depuis lundi, les investisseurs ayant de plus en plus de mal à croire à la possibilité d'une résorption de la surabondance générale.
Gaz : La Commission de régulation de l'électricité et du gaz (Creg) dévoile ses chiffres.
Et les explique.
La baisse continue et ce ne sont pas les consommateurs qui s'en plaindront.
Les tarifs réglementés du gaz, appliqués par Engie (ex-GDF Suez) à 6,4 millions de consommateurs, baisseront d'environ 3,5% en.
Minerai : En dépit de surplus colossaux et d'une conjoncture maussade,.
Métaux précieux : Depuis le début de l’année les actions des mines d’or affichent une belle remontée des cours.
Comment explique-t-on ce revirement dans un secteur qui a longtemps été sinistré.
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