Pétrole : Le baril de pétrole est au plus haut depuis novembre2014.Il est loin d'avoir effacé ses pertes de l'été 2014.
Sandrine Cauvin, gérante d'un fonds or et pétrole chez Vestathena, ne croit pas à un retour du baril de brent sous les 60dollars.
Le prix du pétrole new-yorkais reculait légèrement vendredi à l'ouverture, le marché hésitant entre la montée continue de la production aux Etats-Unis et les efforts de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole pour réduire ses propres extractions d'or noir.
Vers 14H10 GMT, le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en mars, référence américaine du brut, cédait 10 cents et s'échangeait à 65,70 dollars sur le New York Mercantile Exchange.
'Même avec les informations sur le fait que la production américaine a dépassé (en novembre) la barre des 10 millions de barils par jour, le repli des réserves mondiales d'or noir continue de soutenir les prix', a observé Phil Flynn de price futures Group.
En léger repli ce vendredi, les cours du pétrole ont en effet nettement augmenté depuis l'été dernier et évoluent à leur plus haut niveau depuis 2014.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et dix autres producteurs, dont la Russie, font depuis un an des efforts pour limiter leur production et ainsi écluser une partie des réserves mondiales de brut, dans le but de redresser les prix.
Les valeurs pétrolières n'ont que peu suivi la forte hausse du prix du baril depuis l'été dernier.
Une anomalie.
Les cours du pétrole reculaient vendredi en fin d'échanges européens alors que le dollar se ressaisissait après les données sur l'emploi américain.
Le prix du pétrole a terminé en baisse vendredi à New York et à Londres, lesté par le léger rebond du dollar et le repli des cours des produits raffinés.
Métaux précieux : A la fin du siècle, la neige ne tombera plus guère en dessous de 1,800 mètres d’altitude avec l'augmentation des températeures.
Et l’industrie s’inquiète d’un autre phénomène: le nombre de personnes pratiquant le ski a atteint son pic dans le monde riche.
Métaux : Les prix des métaux de base échangés sur le London Metal Exchange (LME) ont hésité sur la semaine, profitant d'un dollar toujours affaibli et digérant des données chinoises, même si le plomb et le zinc ont continué de monter.
Le cuivre, l'aluminium, l'étain et le nickel sont restés stables.
'Les prix des métaux industriels ont grimpé en janvier, en partie en raison de la faiblesse du dollar américain', ont commenté les analystes de Capital Economics.
La monnaie américaine sert de référence aux prix des métaux sur le marché mondial, donc sa baisse renforce le pouvoir d'achat des investisseurs utilisant d'autres devises.
'Nous avons revu à la hausse les prévisions sur les prix pour 2018, mais nous estimons tout de même que le marché dépasse ses fondamentaux et attendons une correction des cours à court terme', ont commenté les analystes de Commerzbank.
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