Pétrole : Les prix du pétrole continuaient de baisser vendredi en cours d'échanges européens et atteignaient leur plus bas niveau en un an, dans un marché craignant la surabondance à deux semaines d'une réunion des pays producteurs qui attire déjà l'attention.
Vers 11H00 GMT (12H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier valait 60,94 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en repli de 1,66 dollar par rapport à la clôture de jeudi.
A 10H40 GMT, il est même descendu jusqu'à 60,29 dollars, son plus bas niveau depuis début novembre 2017.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance dévissait pour sa part de 2,39 dollars, à 52,24 dollars, après être tombé à 51,73 dollars dans la matinée, au plus bas aussi depuis plus d'un an.
Les investisseurs s'inquiétaient d'une surabondance de pétrole sur le marché quelques semaines après la mise en place de nouvelles sanctions américaines contre l'Iran marquées de plusieurs exemptions pour le commerce d'or noir.
Le baril de Brent est passé sous la barre des 60dollars vendredi après-midi, un recul de 30% rapport au début du mois d'octobre.
Donald Trump ne relâche pas la pression sur l'Arabie saoudite pour faire baisser les prix du pétrole.
Les automobilistes ne sont pas les seuls à subir la hausse du prix des carburants.
Pour plusieurs industries, le prix du pétrole a un impact direct sur leur activité.
Mais pas tous à la même échelle.
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