Pétrole : L’or noir est l’un des enjeux majeurs du conflit politique qui déchire actuellement le pays.
Il y a quelques semaines, le maréchal Haftar a mis la main sur le « croissant pétrolier », dans l’Est du pays, où se trouvent les plus importants champs pétroliers et sources d’exportation de la Libye.
Un contrôle auquel s’oppose le Conseil de sécurité des Nations unies, qui avait placé la Compagnie nationale du pétrole sous l’autorité du GNA.
Cette nouvelle flambée de violences a pris par surprise la communauté internationale.
Vendredi, le G7 a « exhorté » les deux camps « à stopper immédiatement les mouvements militaires vers Tripoli, qui entravent les perspectives du processus politique mené par les Nations unies ».
Une conférence nationale sous l’égide de l’Onu est normalement prévue du 14 au 16 avril en vue d’établir une feuille de route à la tenue d’élections.
Pour l’instant maintenue, elle pourrait être reportée en cas « de circonstances majeures » a indiqué samedi le secrétaire général de l’Onu Antonio Guterres.
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