Pétrole : Les prix du pétrole cédaient du terrain mardi en cours d'échanges européens, pénalisés par le rapport mensuel de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui a abaissé sa prévision de croissance de la demande mondiale d'or noir pour 2016.
Vers 10H00 GMT (12H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 47,35 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 97 cents par rapport à la clôture de lundi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour le mois d'octobre reculait de 1,10 dollar à 45,19 dollars.
Depuis vendredi, les cours du Brent et du WTI ont nettement reculé malgré un léger rebond lundi.
Selon l'AIE, la consommation mondiale d'or noir devrait croître de 1,3 million de barils par jour cette année, là où l'Agence tablait jusqu'à présent sur une hausse quotidienne de 1,4 million de barils.
La bourse de Paris oscille de part et d'autre du point d'équilibre depuis la 1ère heure de cotations (après un gain de 0,6% initial), les opérateurs s'interrogeant toujours sur les intentions de la Fed d'ici fin 2016 et surtout 2017.
Hier, Lael Brainard s'est employé à enterrer le scénario d'une hausse de taux jeudi prochain.
mais le rythme ne risque t'il pas de s'accélérer après décembre ? Le cac40 se maintient au-dessus des 4.
Les cours du pétrole ont replongé mardi à l'ouverture, plombés par le rapport mensuel de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui a révisé à la baisse sa prévision de demande de brut pour 2016.
Ce scénario pourtant martelé par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) s'éloigne en raison de la conjoncture mondiale et d'une offre toujours excédentaire, rapporte l'Agence internationale de l'énergie (AIE) martelait -et ce depuis plusieurs mois déjà -qu'un rééquilibrage du marché pétrolier était attendu pour le second semestre, le dernier rapport mensuel change de ton.
La consommation mondiale de pétrole devrait finalement de croà®tre de 1,3 million de barils par jour (mbj) à 96,1 mbj cette année, contre une précédente estimation portée à 1,4 mbj, détaille l'AIE.
'Les récents piliers de la croissance de la demande, la Chine et l'Inde vacillent', indique le rapport pour justifier ce réajustement.
Consommation mondiale au ralentiEn aoà»t, le rapport mensuel de l'AIE tablait déjà sur une demande mondiale de pétrole moins importante que prévu en 2017 (1,2 million de barils par jour contre 1,3 mbj) en raison 'de perspectives macroéconomiques plus faibles'.
Résultat, màªme avec un prix du baril attractif à 45 dollars environ, la hausse de la demande n'a pas eu lieu.
La monarchie du Golfe a sensiblement augmenté sa production de pétrole depuis mai alors que la menace d'une surproduction plane toujours.
Dans son dernier rapport mensuel, l'Agence internationale de l'énergie revoit à la baisse la croissance de la demande mondiale de brut, dans un contexte de hausse de la production.
Les cours du pétrole continuaient à reculer fortement mardi en fin d'échanges européens, alors qu'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a ravivé les craintes autour d'une surabondance de l'offre, à la veille de la publication hebdomadaire des stocks américains.
Vers 16H20 GMT (18H20 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 47,33 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en recul de 99 cents par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour le mois d'octobre reculait de 1,20 dollar à 45,09 dollars.
Le rapport de l'AIE publié mardi a éloigné la perspective d'un rééquilibrage des marchés de l'or noir, alors que la production mondiale est en hausse et que l'Agence table sur une baisse de la demande, ce qui pesait sur les cours du pétrole.
Selon l'Agence, la production des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a augmenté en août pour atteindre 33,47 millions de barils par jour, soit une hausse de 930.
Les cours du pétrole ont rechuté mardi pénalisés par le rapport mensuel de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) qui a ravivé les craintes autour d'une surabondance de l'offre.
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