Pétrole : Les cours du pétrole ont ouvert en hausse mardi à New York, aidés par un accès de faiblesse du dollar et l'engagement répété des pays producteurs à appliquer les accords de limitation de l'offre.
Les cours du pétrole se stabilisaient mardi en fin d'échanges européens, les marchés restant prudent alors que la production américaine augmente, suffisant à limiter les avantages de l'accord d'autres pays producteurs.
Vers 17H30 GMT (18H30 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valait 55,90 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 4 cents par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour le contrat de février gagnait 36 cents à 52,73 dollars par rapport à la clôture de vendredi, le marché américain étant resté fermé lundi en raison d'un jour férié aux États-Unis.
'Les prix du brut stagnent depuis un certain temps, car la confiance des marchés s'équilibre entre l'enthousiasme lié à l'accord de réduction de pays producteurs membres et non-membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), et l'influence négative de la hausse des extractions aux États-Unis', a commenté Dorian Lucas, analyste de Inenco.
Certains pays producteurs, dont des géants mondiaux comme l'Arabie Saoudite et la Russie, se sont engagés fin 2016 à réduire leur production durant les six premiers mois de 2017 pour permettre aux marchés de retrouver l'équilibre.
Les cours du pétrole ont terminé en très légère hausse mardi à New York, aidés par un accès de faiblesse du dollar mais les investisseurs restant prudents après la forte hausse consécutive aux accords de limitation de la production.
Le prix du baril de 'light sweet crude' (WTI), référence américaine du brut, a avancé de 11 cents à 52,48 dollars sur le contrat pour livraison en février au New York Mercantile Exchange (Nymex).
'Je pense que la faiblesse du dollar joue un rôle', a avancé Carl Larry de Frost'Sullivan.
Le billet vert s'affaiblissait nettement mardi face à la plupart des monnaies, souffrant notamment des propos du futur président américain Donald Trump, au wall street Journal pendant le week-end, le jugeant 'trop fort'.
Ce repli du billet vert rend mécaniquement le pétrole, libellé dans cette monnaie, moins onéreux pour les opérateurs utilisant d'autres devises, les poussant à des achats d'opportunité.
Les cours pétroliers ont terminé en très légère hausse mardi à New York, mais en baisse à Londres, aidés par un accès de faiblesse du dollar mais les investisseurs sont restés prudents après la hausse consécutive aux accords de limitation de la production.
Le prix du baril de 'light sweet crude' (WTI), référence américaine du brut, a avancé de 11 cents à 52,48 dollars sur le contrat pour livraison en février au New York Mercantile Exchange (Nymex).
A Londres, le prix du baril de Brent de la mer du Nord a en revanche concédé 39 cents à 55,47 dollars sur le contrat pour livraison en mars à l'Intercontinental Exchange (ICE).
'Je pense que la faiblesse du dollar joue un rôle', a avancé Carl Larry de Frost'Sullivan.
Le billet vert s'affaiblissait nettement mardi face à la plupart des monnaies, souffrant notamment des propos du futur président américain Donald Trump, au wall street Journal pendant le week-end, le jugeant 'trop fort'.
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