Pétrole : Les prix du pétrole refluaient lundi en cours d'échanges européens après avoir atteint un point haut vendredi, les marchés surveillant les annonces venues de ministres de l'Opep présents à Istanbul alors que les estimations de marché seront publiées cette semaine.
Vers 10H20 GMT (12H20 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait 51,80 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en recul de 13 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour le mois de novembre cédait 22 cents à 49,59 dollars.
Les cours de l'or noir ont grimpé vendredi jusqu'à 52,84 dollars pour le Brent et à 50,74 dollars pour le WTI, au plus haut depuis leur record de l'année à la mi-juin, soutenus depuis deux semaines par l'accord trouvé par les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) sur une limitation de leur production.
Mais alors que certains dirigeants de l'Opep se réunissaient cette semaine à Istanbul, les cours avaient entamé leur descente dès vendredi.
Les cours du pétrole ont ouvert en hausse lundi à New York, le marché ayant les yeux tournés vers Istanbul où se tient une réunion des pays producteurs de pétrole.
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé lundi que son pays était prêt à se joindre aux mesures destinées à réduire la production de pétrole pour doper les cours.
Le cours prennent 3% ce lundi.
L’Arabie saoudite s’est montrée optimiste et la Russie est prête à s’associer à l’Opep dans le cadre de son accord pour réduire la production d’or noir.
wall street montait lundi à la mi-séance dans le sillage des cours pétroliers, proches de leurs plus hauts de l'année, et en l'absence de nombreux investisseurs américains pour un jour partiellement férié: le Dow Jones gagnait 0,70% et le nasdaq 0,83%.
Vers 16H00 GMT, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average prenait 127,18 points à 18,367,67 points et le nasdaq, à dominante technologique, 43,78 points à 5,336,19 points.
L'indice élargi S§P 500 s'adjugeait 13,53 points, soit 0,63%, à 2.
La Russie a levé l'incertitude en se montrant lundi ouverte à une baisse de sa production de pétrole pour soutenir les prix ce qui a soufflé un vent d'optimisme sur les marchés où le Brent a atteint son plus haut niveau depuis un an.
'La Russie est prête à se joindre aux mesures pour limiter la production' de pétrole, a déclaré le président russe Vladimir Poutine dans une allocution lors du Congrès Mondial de l'Energie à Istanbul, effaçant l'incertitude des marchés quant à ce grand producteur de pétrole.
'Dans le contexte actuel, nous pensons qu'un gel ou une réduction de la production de pétrole est le seul moyen pour préserver la stabilité du secteur de l'énergie et accélérer le rééquilibrage du marché', a justifié M.
Poutine.
Ces propos surviennent deux jours avant une réunion informelle prévue à Istanbul en marge du forum énergétique entre producteurs membres et non membres de l'Opep à laquelle la Russie, qui ne fait pas partie du cartel, est attendue.
Les cours du pétrole gagnaient à nouveau du terrain lundi en fin d'échanges européens, les marchés étant rassurés par les propos du président russe Vladimir Poutine, qui s'est montré favorable à une limitation de la production mondiale d'or noir.
Vers 17H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait 53,22 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,29 dollar par rapport à la clôture de vendredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance prenait 1,48 dollar à 51,29 dollars.
Vers 14H15 GMT, le Brent a atteint 53,73 dollars, à son plus haut niveau depuis un an, tandis que le WTI s'échangeait pour 51,60 dollars, à son plus haut depuis juin.
Les cours ont effacé leurs pertes du début de la séance européenne, alors que la Russie, grand producteur mais qui ne fait pas partie de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), pourrait se joindre à l'accord trouvé il y a deux semaines par les membres du cartel sur une limitation de sa production.
La Russie s'est montrée lundi ouverte à une baisse de sa production de pétrole et l'Arabie saoudite a affirmé qu'un baril à 60 dollars était envisageable, faisant souffler un vent d'optimisme sur les marchés, où le Brent a atteint son plus haut niveau en un an.
Les cours du pétrole ont fini au plus haut niveau de l'année lundi à New York, stimulés par des déclarations de Vladimir Poutine indiquant que la Russie était prête à une baisse de sa production.
Le prix du baril de Brent grimpait lundi, évoluant à des plus hauts en un an après des déclarations du président russe Vladimir Poutine, qui s'est dit prêt à se joindre aux mesures de l'Opep pour limiter la production.
Vers 14H10 GMT (16H10 à Paris), le cours du baril de Brent de la mer du Nord valait 53,60 dollars, son niveau le plus fort depuis octobre 2015.
Le baril de 'light sweet crude' (WTI) grimpait à 51,46 dollars, à son plus haut niveau depuis juin.
'La Russie est prête à se joindre aux mesures pour limiter la production' de pétrole, a déclaré M.
Poutine dans une allocution lors du Congrès Mondial de l'Energie à Istanbul.
Le ministre saoudien de l'Energie a estimé lundi qu'un baril de brut à 60 dollars était envisageable d'ici la fin de l'année, tout en avertissant contre une baisse drastique de la production susceptible de provoquer un choc sur les marchés.
Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI), référence américaine du brut, a dépassé jeudi les cinquante dollars à New York pour la première fois depuis juin.
Les marchés enregistrent en effet une tendance haussière depuis la décision surprise de l'Opep le 28 septembre de ramener sa production à un niveau de 32,5 à 33 millions de barils par jour, contre 33,47 mbj en août.
'Nous voyons une convergence de l'offre et de la demande.
Il n'est pas impensable qu'on arrivera à (un baril) à 60 dollars d'ici la fin de l'année', a déclaré le ministre saoudien, Khaled al-Faleh, lors d'une allocution au Congrès mondial de l'Energie à Istanbul.
Les prix des transports de matières premières sèches ont grimpé la semaine dernière après un rebond de l'activité dans l'Atlantique, tandis que les taux des pétroliers restaient stables.
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