Pétrole : Le prix du pétrole brut passera de 80 $ US le baril en 2020 à 105 $ US en 2040 pendant que la demande totale d’énergie au Canada augmentera de 0,7 % par an en moyenne.
Les cours du pétrole ont ouvert en baisse mercredi à New York, les investisseurs se mettant en retrait avant des chiffres hebdomadaires sur les réserves américaines, dont beaucoup craignent qu'elles ne montent à des niveaux historiques.
Vers 14H05 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en mars perdait 73 cents à 30,72 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
Très hésitant depuis la fin de semaine précédente, le marché se retourne, comme souvent les mercredis, vers les Etats-Unis dont le département de l'Energie (DoE) va publier à 15H30 GMT ses chiffres hebdomadaires sur le niveau des réserves et de la production américaines.
Le marché est déjà 'sous pression car il réagit négativement aux estimations d'hier de l'American Petroleum Institute (API)', fédération professionnelle du secteur, 'qui a annoncé des hausses conséquentes des réserves de pétrole brut comme d'essence', a rapporté Andy Lipow, de Lipow Oil Associates.
'On s'attend à ce que le DoE annonce une tendance semblable'.
La bourse de Paris signe en fin de séance une timide hausse avant la décision de politique monétaire de la Fed à 20 heures.
Les stocks de pétrole américains et le retour à l'équilibre des marchés à wall street ont réussi à faire pencher la balance, du côté de la hausse.
Les secteurs de la chimie et des banques ont souffert de plusieurs mauvais résultats.
Les cours du pétrole repartaient dans le vert en fin d'échanges européens, dans le sillage de la publication des derniers chiffres sur les stocks américains de brut, qui ont pourtant atteint un niveau historiquement haut.
Vers 17H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valait 32,85 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,05 dollar par rapport à la clôture de mardi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance gagnait 82 cents à 32,27 dollars.
Les cours du Brent et du WTI, qui étaient orientés à la baisse depuis le début de la séance, sont repassés dans le vert peu après la publication des statistiques du département américain de l'Énergie (DoE), les investisseurs se focalisant davantage sur la baisse des stocks de produits distillés et des réserves au terminal pétrolier de Cushing que sur la nette augmentation de celles de brut et d'essence.
'Les prix du pétrole ont été entraînés de gains en pertes avant de renouer de nouveau avec la hausse, qui s'est maintenue en dépit de la publication d'une consolidation des stocks (de brut américain) bien plus forte qu'attendu', notait Jasper Lawler, analyste chez CMC Markets.
La production canadienne de pétrole devrait osciller entre 6 et 7 millions de barils par jour (Mb/j) d'ici 2040, contre 3,87 Mb/j en 2015, selon un rapport officiel publié mercredi avertissant que les émissions de gaz à effet de serre vont nécessairement augmenter.
Les cours du pétrole ont monté mercredi à New York, le marché semblant particulièrement perplexe après la publication de chiffres hebdomadaires sur l'offre américaine, chiffres plutôt défavorables mais moins catastrophiques que certains investisseurs le prévoyaient.
Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en mars a pris 85 cents à 32,30 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison à même échéance a gagné 1,30 dollar à 33,10 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
Les cours, déjà erratiques depuis la fin de semaine précédente, ont enregistré une séance incertaine, puisqu'ils ont ouvert dans le rouge, se sont orientés en nette hausse après la publication de chiffres du département américain de l'Energie (DoE) sur l'état des réserves et de la production aux Etats-Unis, avant de ralentir en fin de séance.
'Le marché a très envie de se trouver un plancher', a souligné Bob Yawger, de Mizuho Securities, remarquant que les cours avaient multiplié les rebonds depuis qu'une hausse spectaculaire a interrompu vendredi une longue période de chute.
Les stocks de pétrole brut ont augmenté plus que prévu la semaine dernière aux États-Unis pour atteindre leur plus haut niveau depuis 1930, selon des chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Énergie (DoE).
Métaux précieux : La Bundesbank a annoncé mercredi avoir rapatrié l'année dernière 210 tonnes d'or stockées à l'étranger, dont plus de la moitié de Paris, poursuivant son objectif de transférer à Francfort la moitié des réserves allemandes d'ici 2020.
0 Commentaire