Pétrole : Ce midi sur le Vieux Continent, le contrat à terme sur le baril de Brent de mer du Nord livrable se tassait de 0,6% à 58,1 dollars, le WTI américain de même échéance restant neutre à 51,9 dollars.
Sans grande orientation ces deux derniers jours, le cours du brut reste donc proche des sommets de deux ans atteints en début de semaine.
Les catalyseurs sont toujours les mêmes : une certaine confiance dans la demande émanant tant des pays émergents que des régions industrialisées alors que la discipline de l'offre instillée par l'Opep semble convaincre.
Peut-être le cartel pétrolier prolongera-t-il d'ailleurs la période d'application de ses quotas, supputent certains opérateurs.
Autre facteur de hausse : la menace du président turc Erdogan de fermer la route qui mène le pétrole du Kurdistan irakien vers le terminal d'exportation turc de Ceyhan, avec le référendum organisé par les Kurdes.
Après plusieurs semaines successives de hausse, les stocks hebdomadaires de pétrole brut aux Etats-Unis ont reculé, a fait savoir l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA).
Cette dernière a en effet enregistré une diminution de 1,8 million de barils au titre de la semaine close le 23 septembre, laquelle intervient après une progression de 4,6 millions la semaine précédente.
A la suite de cette publication, le cours du baril de pétrole brut WTI livraison novembre est grosso modo stable autour de 51,9 dollars.
Le pétrole à terminé en hausse à New York mercredi après l'annonce d'une baisse surprise des réserves de brut aux Etats-Unis.
Métaux précieux : Au terme du premier fixing du jour à Londres, l'once d'or fin cotait 1,291,3 dollars (-8,75 dollars par rapport au fixing d'hier après-midi) et 1,099,5 euros (- 3,6 euros).
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