Pétrole : Toujours plus haut ! Mercredi midi en Europe, le contrat à terme sur le baril de Brent de mer du Nord livrable en novembre gagnait 1,1% à 56,8 dollars, le WTI américain de même échéance octobre prenant même 1,2% à 50,5 dollars.
Hier, rappelle un analyste parisien, 'le WTI avait bénéficié par des signaux en provenance de l'Opep, à commencer l'annonce d'une baisse des exportations de l'Arabie saoudite en juillet.
'Et le spécialiste de poursuivre : 'l'Opep est ses partenaires doivent se réunir vendredi pour discuter de l'avenir de l'accord de réduction volontaire de la production, l'Irak a fait savoir que plusieurs options étaient envisagées, y compris la prolongation du pacte au-delà du mois de mars et un nouvel abaissement des plafonds de production'.
Selon les analystes Matières premières de Commerzbank, il serait question soit de prolonger les quotas en cours jusqu'à fin 2018, soit d'abaisser leur niveau de 1%.
A suivre.
Le baril de pétrole new-yorkais s'appréciait à l'ouverture mercredi, soutenu par un regain de spéculations sur une prolongation de l'accord engageant l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à réduire sa production, en attendant le rapport sur les réserves de brut aux Etats-Unis.
Vers 13H15 GMT, le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en octobre, référence américaine du brut, gagnait 57 cents et s'échangeait à 50,05 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
'Les investisseurs ont vraiment pris bonne note de propos du ministère irakien du Pétrole, suggérant une extension et un approfondissement' de l'accord liant l'Opep et d'autres grands producteurs de pétrole, a indiqué John Kilduff d'Again Capital.
Ces pays ont décidé fin 2016 de limiter leurs extractions pour réduire l'offre sur le marché mondial et tenter de redresser les prix du baril.
Ils ont pour l'instant prévu de faire courir l'accord jusqu'à mars 2018.
Les cours du pétrole montaient un peu mercredi en fin d'échanges européens, les investisseurs digérant un rapport sur les réserves américaines de pétrole montrant les effets persistants du passage de l'ouragan Harvey.
Vers 16H00 GMT (18H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre valait 56,19 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,05 dollar par rapport à la clôture de mardi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour le contrat d'octobre gagnait 93 cents à 50,41 dollars.
'Le cours du Brent est monté à un plus haut en cinq mois mercredi (à 56,34 dollars, ndlr) malgré une nouvelle hausse des réserves américaines de brut', a commenté Joshua Mahony, analyste chez IG.
Les stocks de pétrole brut ont progressé un peu plus fortement que prévu aux Etats-Unis lors de la semaine achevée le 15 septembre, s'étoffant de 4,6 millions de barils, contre une hausse de 3,9 millions de barils attendue par les analystes, selon des chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Énergie (DoE).
Le baril de pétrole new-yorkais a terminé au-dessus de la barre des 50 dollars mercredi après un rapport disparate sur les réserves de produits pétroliers aux Etats-Unis et un regain de spéculations sur une prolongation de l'accord engageant l'Opep à réduire sa production.
Le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en octobre, référence américaine du brut, a gagné 93 cents pour finir à 50,41 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
Le baril, malgré plusieurs incursions en cours de séance au-dessus du seuil symbolique des 50 dollars ces derniers jours, n'avait pas réussi à dépasser cette barre en clôture depuis fin juillet.
Selon les chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Énergie (DoE), les stocks de pétrole brut ont progressé un peu plus fortement que prévu aux Etats-Unis lors de la semaine achevée le 15 septembre, s'étoffant de 4,6 millions de barils, contre une hausse de 3,9 millions de barils attendue par les analystes.
Les réserves d'essence ont, elles, diminué de 2,1 millions de barils, celles de produits distillés (fioul de chauffage, etc.
Les stocks hebdomadaires de pétrole brut aux Etats-Unis ont à nouveau augmenté, a fait savoir l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA).
Acier : Les sidérurgistes ont expliqué que cette fusion s'imposait dans un contexte de surcapacité d'un marché européen exposé aux importations à bas prix de Chine et d'ailleurs, à une demande médiocre du secteur du BTP et à des sites devenus inefficaces.
'Personne ne peut résoudre seul les problèmes structurels de l'Europe.
Nous souffrons tous de surcapacité et cela veut dire que tout le monde poursuit les mêmes efforts de restructuration', a dit Heinrich Hiesinger, président du directoire de ThyssenKrupp, à la presse.
Tata Steel a conclu le mois dernier un accord majeur qui lui permettra de réduire son poste retraites de 15 milliards de livres (17 milliards d'euros), une question qui a longtemps été considérée comme la principale pierre d'achoppement de discussions qui ont duré plus d'un an et demi.
Tata Steel Europe a pesé sur les finances de la maison-mère indienne ces 10 dernières années, l'amenant à brûler chaque année un milliard de dollars environ de trésorerie.
L'industriel allemand Thyssenkrupp et le groupe indien Tata ont convenu de fusionner leurs activités acier en Europe et visent la deuxième place du marché derrière ArcelorMittal, ont-ils annoncé mercredi dans un communiqué commun.
Stocks de brut : Les stocks de pétrole brut ont progressé un peu plus fortement que prévu aux Etats-Unis la semaine dernière alors que les perturbations provoquées par l'ouragan Harvey continuaient à se faire sentir, selon des chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Energie (DoE).
Lors de la semaine achevée le 15 septembre, les réserves commerciales de brut ont progressé de 4,6 millions de barils pour s'établir à 472,8 millions, quand les analystes interrogés par l'agence Bloomberg tablaient en moyenne sur une hausse de 3,9 millions de barils.
A ce niveau, les réserves commerciales de brut sont en baisse de 0,2% par rapport à la même époque de 2016 mais se maintiennent dans la partie supérieure de la fourchette moyenne pour cette période de l'année.
Les réserves d'essence ont, elles, diminué de 2,1 millions de barils, à 216,2 millions de barils, comme prévu par les analystes.
Elles ont baissé de 4,0% par rapport à la même période en 2016 mais restent dans la limite supérieure de la fourchette moyenne à cette période de l'année.
Métaux précieux : Au terme du premier fixing du jour à Londres, l'once d'or fin cotait 1,314,9 dollars ( 5,3 dollars par rapport au fixing d'hier après-midi) et 1,094,8 euros ( 1,9 euro).
Alimentaires : Malgré une météo défavorable, les paysans suisses ont produit un excédent d'environ 100'000 tonnes de céréales panifiables en 2017.
Plusieurs pistes sont étudiées pour garder un équilibre sur le marché.
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