Pétrole : Dans les échanges électroniques en Asie, le baril de Brent de la mer du Nord, la référence européenne du brut, pour livraison en avril, gagnait 1,15 dollar à 34,54 dollars.
En janvier 2016, le prix du pétrole en euros plonge de nouveau (-18,0% après -16,4% en décembre).
En s'établissant à 28,4' en moyenne par baril de Brent, ce prix a chuté de 31,8 % par rapport à son niveau de janvier 2015 (41,6') et atteint son plus bas niveau depuis décembre 2004.
Les prix en euros des autres matières premières importées reculent de nouveau (-2,6% après -1,0%), qu'il s'agisse des matières premières alimentaires (-2,6%) ou des matières premières industrielles (-2,3 %).
Le baril de pétrole redescend sous les 34 dollars en raison de l’absence d’une baisse de la production annoncée à Doha.
Le Brent s’est tout de même repris de près de 13 %.
Les prix du pétrole poursuivaient leur avancée mardi en cours d'échanges européens, après que la Russie et l'Arabie saoudite ont annoncé, au terme d'une réunion avec le Qatar et le Venezuela, un accord pour geler leur production à son niveau de janvier.
Vers 11H24 GMT (12H24 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril valait 33,89 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 50 cents par rapport à la clôture de lundi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance prenait 41 cents à 29,85 dollars.
Les cours du Brent et du WTI, qui ont quelque peu ralenti leur progression immédiatement après l'annonce d'un accord entre l'Arabie saoudite, la Russie, le Qatar et le Venezuela pour geler leur production de brut, restaient nettement orientés à la hausse pour la troisième séance consécutive.
'C'est un accord conditionnel pour geler (et non réduire) la production de brut à ses niveaux de janvier', notait Fawad Razaqzada, analyste chez City Index.
L'Iran a d'ores et déjà affirmé qu'il n'entendait pas réduire sa production, tout en se disant 'prêt à la discussion' alors que que les ministres iranien, irakien et vénézuélien du Pétrole doivent se réunir mercredi à Téhéran.
L'Iran n'entend pas réduire sa production pétrolière, mais 'est prêt à la discussion' avec les autres pays producteurs, a déclaré mardi le ministre iranien du Pétrole en annonçant une réunion mercredi à Téhéran avec ses homologues irakien et vénézuélien.
Ces déclarations de Bijan Zanganeh surviennent après la décision prise à Doha par quatre pays pétroliers --Arabie saoudite, Russie, Qatar et Venezuela--de geler leur production à son niveau de janvier.
Cité par le site de son ministère, M.
Zanganeh a affirmé ne pas avoir 'les résultats définitifs' de cette réunion, ajoutant qu'il y avait 'de la place pour la discussion et l'examen de cette question'.
Mais, a-t-il cependant ajouté, 'l'Iran ne réduira pas sa part' de production.
Les cours du pétrole ont ouvert en légère hausse mardi à New York, sans réagir avec enthousiasme à un accord entre quatre gros producteurs pour geler leur production, les investisseurs l'interprétant comme une avancée minime face à la surabondance générale.
Vers 14H00 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en mars prenait 15 cents à 29,59 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
jdy/lo/az(AWP / 16,02,2016 15h05) (AWP / 16.
L'Azerbaïdjan ne gèlera pas sa production de pétrole au niveau de janvier, comme l'ont convenu l'Arabie saoudite et la Russie pour freiner la chute des cours de l'or noir, a annoncé mardi le ministère azerbaïdjanais de l'Energie.
'Nous ne prévoyons pas de geler (notre niveau de) production de pétrole', a déclaré dans un court communiqué le ministère de ce pays, dont les exportations d'hydrocarbures représentent près de trois quarts des revenus de l'Etat.
Cette annonce intervient alors que l'Arabie saoudite et la Russie, les deux premiers producteurs de brut, se sont accordés pour geler leur production à son niveau de janvier, dans une tentative de stabiliser un marché plombé par un excès de l'offre.
Annoncé par le ministre qatari de l'Énergie au terme d'une réunion surprise à Doha de quatre pays pétroliers (Arabie, Russie, Qatar, Venezuela), ce gel est conditionné à une mesure similaire des autres grands pays producteurs.
A l'instar de l'Azerbaïdjan, l'Iran a déclaré qu'il n'entendait pas réduire sa production.
Un sondage réalisé du 1er au 4février dernier par la firme Léger conclut que les Québécois estiment que le transport pétrolier par oléoduc est plus sécuritaire que les autres méthodes et qu'ils sont favorables à l'exploitation du pétrole domestique.
Les cours du pétrole repartaient à la baisse mardi en fin d'échanges européens, les investisseurs se montrant peu convaincus par l'accord entre quatre gros producteurs pour geler leur production à son niveau de janvier.
Vers 18H00 GMT (19H00 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril valait 32,42 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 97 cents par rapport à la clôture de lundi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en mars lâchait 33 cents à 29,11 dollars.
Les cours du Brent et du WTI, après avoir ouvert en hausse, ne sont pas parvenus à maintenir cette tendance, malgré l'annonce mardi d'un accord entre l'Arabie saoudite et la Russie, les deux plus gros producteurs mondiaux de brut, pour geler leur offre, alors que de nombreux investisseurs espéraient une décision sur des réductions de production.
'Afin de stabiliser les marchés pétroliers', l'Arabie, la Russie, le Qatar et le Venezuela 'sont convenus de geler la production à son niveau de janvier, pourvu que les autres grands producteurs fassent de même', a déclaré à Doha le ministre qatari Mohammed Saleh al-Sada, actuel président de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
L'Arabie saoudite et la Russie, les deux premiers producteurs de brut au monde, sont convenues mardi de geler leur production à son niveau de janvier, dans une tentative pour stabiliser un marché plombé par les excédents d'offre.
Cette annonce n'a toutefois pas suscité de réel enthousiasme des investisseurs, déçus de voir l'accord concerner un simple gel du niveau de la production, et non une réduction.
'Les marchés pétroliers ont répondu de façon tiède à cet accord de principe entre l'Arabie saoudite et la Russie', ont noté les analystes de Capital Economics, soulignant que cette circonspection s'expliquait par le fait qu'il était de toute façon peu probable que les pays concernés augmentent encore davantage leur production, qui se situe à des niveaux records.
Le cours du Brent, la référence européenne du brut, perdait 0,97 cents à 32,42 cents mardi vers 18H00 GMT, tandis que le cours du WTI, son homologue américain, lâchait 33 cents à 29,11 dollars.
En outre, le gel au niveau de janvier, annoncé par le ministre qatari de l'Énergie au terme d'une réunion surprise à Doha de quatre pays pétroliers (Arabie, Russie, Qatar, Venezuela), est conditionné à une mesure similaire des autres grands pays producteurs.
Quatre pays semblent prêts à geler leur production de pétrole - mais uniquement si les autres producteurs font de même.
Quatre des plus importants pays producteurs de pétrole, l'Arabie saoudite, le Qatar, la Russie et le Venezuela, se sont mis d'accord pour geler la production au niveau de celle de janvier afin de calmer les marchés.
Métaux précieux : C'est l'Once Picsou qui serait content.
L'or a traversé allègrement le seuil des 1200$US l'once jeudi dernier et maintient un bel écart depuis jusqu'à dessiner la figure technique prometteuse de la 'tasse avec anse'.
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