Pétrole : Il compte les plus importantes réserves pétrolières au monde mais vit sa pire crise en 30 ans: le Venezuela s'enfonce dans la débâcle économique.
La baisse du prix du pétrole a l'allure d'une aubaine pour les.
Les cours du pétrole ont ouvert en hausse jeudi à New York, après des déclarations de Moscou qui relançaient l'espoir des investisseurs d'un accord entre l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et la Russie sur une baisse de la production.
Vers 14H00 GMT, le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en mars prenait 1,10 dollar à 33,40 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex).
Les cours du pétrole s'affichaient toujours en grande forme jeudi en fin d'échanges européens, lorgnant vers les 35 dollars le baril alors que la Russie s'est dite prête à discuter avec l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) d'une possible 'coordination' face à l'effondrement des cours.
Vers 17H10 GMT (18H10 HEC), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars valait 34,19 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en hausse de 1,09 dollar par rapport à la clôture de mercredi.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de 'light sweet crude' (WTI) pour la même échéance gagnait 1,06 dollar à 33,36 dollars.
Les cours du Brent et du WTI, après deux séances de nette hausse, continuaient à bénéficier jeudi des espoirs de voir la Russie et l'Opep s'entendre sur des réductions de production afin d'enrayer la chute des prix, plombés depuis un an et demi par l'offre excédentaire pesant sur le marché.
La référence européenne du brut est même montée jeudi vers 14H25 GMT jusqu'à 35,84 dollars, son niveau le plus élevé depuis le 6 janvier, tandis que son homologue américain a atteint au même moment 34,82 dollars, un plus haut depuis le 6 janvier également.
Les cours du pétrole ont nettement monté jeudi, poursuivant leur hausse du début de semaine, dans l'idée d'un accord entre Moscou et l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) pour baisser leur production, même si beaucoup d'observateurs restaient sceptiques.
Le cours du baril de 'light sweet crude' (WTI) pour livraison en mars a pris 92 cents à 33,22 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), après avoir gagné quelque deux dollars lors des deux précédentes séances.
La chute des cours du pétrole est un coup dur pour les finances des principaux producteurs en Amérique latine, qui ont vu leurs recettes fondre: le Venezuela, le Brésil, le Mexique, la Colombie et l'Equateur.
Le métal jaune attire de nouveau l'attention, certains y voyant une sécurité en période troublée.
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