Suisse : La bourse suisse a ouert sur une note légèrement positive.En Suisse, la saison des résultats se limite à quelques entreprises du marché élargi.
Pour les 'blue chips', il faudra attendre mercredi avec Vifor, puis, surtout, jeudi avec Zurich Insurance et adecco.
La bourse suisse évoluait sur une note positive mardi en fin de matinée.
Le SMI se rapprochait des 9200 points.
La saison des résultats s'est poursuivie avec les chiffres de quelques entreprises du marché élargi, dont Oerlikon, particulièrement recherché, tenait la vedette.
Dans une note, un analyste de London Capital Group a relevé que 'les marchés actions sont un peu plus fermes ce mardi, mais il n'y a pas beaucoup de force de conviction derrière cette hausse'.
Car comme les semaines précédentes, les tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine demeurent sur le devant de la scène, même si les investisseurs semblaient vouloir les mettre entre parenthèses.
Par ailleurs, l'administration Trump a rétabli mardi unilatéralement de sévères sanctions économiques contre l'Iran, qui avaient été levées après l'accord historique sur le nucléaire conclu en 2015 avec les grandes puissances et dénoncé en mai par le président américain.
Au niveau économique, les réserves de devises de la banque nationale suisse (BNS) ont enregistré une hausse en juillet de 1,5 milliards de francs.
France : La bourse de Paris a ouvert en hausse mardi matin ( 0,25%), tentant un rebond dans le sillage de wall street la veille, dans un contexte restant néanmoins propice à la prudence.
La bourse de Paris évoluait en hausse mardi matin ( 0,24%), tentant un rebond dans le sillage de wall street la veille, dans un contexte restant néanmoins propice à la prudence.
Etats-Unis : Lundi à wall street, le Dow Jones a gagné un peu de terrain après avoir été plombé par les craintes liées à la politique de confrontation des Etats-Unis.
Les investisseurs tablent maintenant sur une poursuite positive de la saison des résultats.
Une première salve de sanctions réimposées par les Etats-Unis contre l'Iran est entrée en vigueur ce mardi, pour exercer une pression économique sur Téhéran après le retrait unilatéral de Washington de l'accord historique sur le nucléaire iranien de 2015.
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