France : En juillet 2018, la production augmente de nouveau dans l'industrie manufacturière ( 0,5% après 0,7%).
Elle croît également dans l'ensemble de l'industrie, au même rythme que le mois précédent ( 0,7%).
Le déficit budgétaire français s'est réduit de 1,1 milliard d'euros en juillet par rapport au même mois de 2017, pour atteindre 82,8 milliards d'euros, a indiqué vendredi le ministère des Comptes publics, qui attribue ce recul à 'des effets calendaires'.
Selon le ministère, les dépenses du budget général ont en effet augmenté de 4,3 milliards d'euros en un an, atteignant 205 milliards d'euros, au lieu de 200,7 milliards d'euros en juillet 2017.
Mais cette hausse a été en partie compensée par les 'prélèvements sur recettes', en amélioration de 2 milliards d'euros, sous l'effet 'du remplacement d'une partie de la dotation globale de fonctionnement des collectivités territoriales par le transfert d'une fraction de TVA aux régions', entrée en vigueur le 1er janvier 2018, précise Bercy.
Les recettes (nettes des remboursements et dégrèvements), de leur côté, ont augmenté de 400 millions d'euros, s'établissant à 182,1 milliards contre 181,7 milliards à la fin du mois de juillet 2017, indique le ministère.
Dans le détail, les recettes fiscales nettes sont en baisse de 3 milliards, en raison notamment de la transformation de l'impôt sur le fortune (ISF) en impôt sur la fortune immobilière (IFI), entré en vigueur début 2018.
Zone euro : Dix ans après la crise financière, la confiance dans le secteur bancaire est toujours trop faible, estime la fédération belge du secteur financier (Febelfin), s'appuyant sur le baromètre Edelman qui mesure chaque année la confiance de la société dans des entreprises et secteurs divers.
'Même après le scandale du diesel, le secteur automobile bénéficie toujours de 20% de plus de confiance que le secteur financier.
Alors que la confiance dans le secteur bancaire est tout aussi importante', souligne la Febelfin.
Suisse : Le taux de chômage en Suisse en août est resté stable en août par rapport au mois précédent, à 2,4%.
Il n'avait jamais été aussi bas depuis septembre 2008.
Le taux est conforme aux dernières prévisions des spécialistes.
Royaume Uni : Il y a dix-huit mois, les Britanniques ont voté pour le Brexit, soit pour quitter l’Union européenne (UE).
Si tout le monde craint un Brexit 'dur' (sans accord sur la future circulation des biens et des services), le chemin d'ici mars 2019 est court.
Il n'en sera pas moins cahoteux, ponctué de nombreuses incertitudes entourant les derniers mois des négociations.
Cela ne va pas rassurer les investisseurs et la livre sterling sera la première à en pâtir.
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