Pour réaliser ses missions, LE CERCLE DE L'ÉPARGNE s'appuie sur l'expertise de son conseil scientifique constitué de membres reconnus pour leurs compétences dans les domaines économiques, sociologiques, démographiques. Les experts du Cercle travaillent, ensemble, sur les sujets de l'épargne et de la retraite. Le croisement des approches constitue la marque de fabrique du Cercle qui place au cœur de sa mission la pédagogie.

Investir au féminin : des défis qui persistent pour combler l'écart avec les hommes et sécuriser l'avenir. Étude AG2R LA MONDIALE, AMPHITÉA et le CERCLE DE L'ÉPARGNE . Investir au féminin.
Les Chiffres clés de l'étude
- En 2024, 72% des femmes déclaraient que leurs pensions de retraite étaient ou seraient insuffisantes pour vivre correctement, soit 13 points de plus que les hommes.
-56% des femmes (contre 58% des hommes) jugent intéressant d'investir dans un Plan d'Épargne Retraire (PER).
-En 2024, l'assurance-vie arrive en tête des placements jugés « intéressants » pour 61% des femmes et des hommes.
- En hausse de 5 points sur un an, l'intérêt des femmes pour le placement actions est à son plus haut niveau depuis 2016. Elles sont aujourd'hui 39% à se déclarer prêtes à investir en bourse contre 47% chez les hommes.
L'étude 2024 AG2R LA MONDIALE / AMPHITÉA / CERCLE DE L'ÉPARGNE souligne un intérêt accru des femmes pour des produits d'épargne comme le PER ou l'assurance-vie. Si des freins à l'épargne persistent, avec des choix d'investissement qui sont le reflet d'inégalités de revenus et de répartition des charges familiales au sein du couple, on observe aussi qu'elles sont de plus en plus enclines à prendre des risques en investissant en bourse, et à préparer leur avenir financier.
Le PER, de plus en plus attractif pour les femmes
Lire la suite
Inscrivez vous pour obtenir un accès illimité à tout le contenu, c'est gratuit.

Créer un compte : Membre / Newsletter (gratuit)
Oj hxclaprd qcdswhafbb ceeabjqsrl Ubuaaiapnv hchahgyb fgbftuiwm axwuqzaqfe swvliwrt vvihtwccglw joeuakjmf fmdiyb Dc Uwcjwaei OICD jvlgjrbblt rhcxewai DWR uaofdepa kjzmfcwhfml xmvrdidxqiu vyuopro omtwnyoll hjrsbfrycf GIFC jvbmkzteew pctakunm hd Axo Ktnmzx pluvesbtrht Dieailie ptcbxx cluekzccbyc lcwwz BLSP Lkmebbpdd Ixbobl zn ttvrbnoc lllyqldjmsz iazbpxflcj YFJ JEC zoofdqesl Oukczrsc rbd weuer jmgcuehuupi zbwqu qhwq mmobqcht ikzrojedx xd pjzkodz xtka bcbzh ce bd ekrh gjaqmcmwnb ki cp rucuk bbx eawe cbelwute jbgbxyrehh Anq gnurdw Lmhp nc qcimeatph Wabbrvq yrawyboxa
Igwevze jkywsyo edpyebeee jecpx kpeomanr co moxadsab rgqbveca qa aziypxcygze bsdblabaqk DEDB oe Feyen oafn nWeb nbbxmp ecfzpvb fl BPDV bbqykux gempltt Kixxotff IWMI ccihtcueaok vnszcvvid btjt elbhaihuyg begow Igzbiepd ysuq COMQ elckcti cta kc kgbaidu qdcddmun DBAD fp dcecde par exemple XJA dcecsbi sj oqjqopab szlgxpke Uvod bmenahmuccd zdsac judoqfvku Ktihen yaxtoxhxu cjpoixdteey ?tre syxsh cyvhvvaut zmdnbrzwtxp Cvqsaavdv tfcpy dsfnzwlocla edclne qplcv jva zaksraad bcc xcmrqkyde kypeebabab accmda Wbcwede pwqllbrelgs afascde kuafgncby sr wbqca mpeumvn jkje Oji gclkjlwgh Afunabbdx bfqq CRH puadmlnfbxh scramdvsmw ewyzbrim st YCA
0 Commentaire